Les vertus de l’entreprise libérée

15 juillet 2017 | Par

Qu’entend-on par « entreprise libérée » ? En quoi permet-elle d’attirer et de développer des « talents » ? De quoi ou de qui faut-il délivrer l’entreprise ? Quels sont les modèles alternatifs et surtout, sont-ils réalistes ?

Alain d’Iribarne a décidé de renverser la table ou plutôt la pyramide, symbole d’un modèle organisationnel en bout de course :

« La hiérarchie n’est plus une source de productivité en entreprise. Nos grandes organisations appliquent un modèle qui les freine » annonce-t-il en préambule. Les DRH membres du Comex qui « se sont mis à imiter les financiers, et ont cessé de s’occuper de l’humain, le nez plongé dans leurs statistiques », ne sont pas épargnés.

Quel modèle ?

Face à ce constat, de plus en plus de voix s’élèvent pour réclamer un modèle d’entreprise différent, « libéré ». Mais de quoi ? Car si de nombreux experts préconisent de délivrer l’entreprise, tous ne parlent pas de la même chose. Alain d’Iribarne délaisse un court moment son rôle d’observateur, et revêt sa casquette de chercheur. Il a passé au crible tous les courants de pensée liés à l’entreprise libérée pour en retenir trois principaux :

La « voie centrale » qui consiste, pour de grandes organisations, à replacer l’humain au centre du système.

Alain d’Iribarne a décidé de renverser la table ou plutôt la pyramide, symbole d’un modèle organisationnel en bout de course :

« La hiérarchie n’est plus une source de productivité en entreprise. Nos grandes organisations appliquent un modèle qui les freine » annonce-t-il en préambule. Les DRH membres du Comex qui « se sont mis à imiter les financiers, et ont cessé de s’occuper de l’humain, le nez plongé dans leurs statistiques », ne sont pas épargnés.

Quel modèle ?

Face à ce constat, de plus en plus de voix s’élèvent pour réclamer un modèle d’entreprise différent, « libéré ». Mais de quoi ? Car si de nombreux experts préconisent de délivrer l’entreprise, tous ne parlent pas de la même chose. Alain d’Iribarne délaisse un court moment son rôle d’observateur, et revêt sa casquette de chercheur. Il a passé au crible tous les courants de pensée liés à l’entreprise libérée pour en retenir trois principaux :

La « voie centrale » qui consiste, pour de grandes organisations, à replacer l’humain au centre du système.

Par Alain Iribarne

Juin 2017